dimanche 16 novembre 2008


Par la fenêtre bouquet final et songer
Que c’est une nuit comme une autre
Mais plus ouverte sur l’aube

Trois raisons d’aimer au jour qui vient
En avons-nous le souvenir précis
Enfin trois raisons

Parfois les différences d’âge nous rendent
Plus vieux qu’une poignée d’ancêtres
Au rire d’enfant

Il faudrait t’aimer comme on reprend
Sa respiration d’un coup sec
Aimer l’eau qui t’entoure

Ce canard a deux têtes l’homme t’écoute
Relis ses notes tousse tu d’adresses
A l’une des trois têtes

Encore une fois la nuit t’aura changé
Un parfait étranger s’étire et répond
Au même prénom

Laissez-nous le temps de ne rien faire
De bon de blanc de raisonné
En forme de départ