lundi 30 avril 2007
sans titre 3
Un million d’astres et pas grand chose
Il se passe de guingois une journée un poème
Pour toute rectitude un bâton dans le sable
Trop de visions mènent au chaos
Ici
Nulle prophétie
Les pierres se posent tendre est ta voix
Ton téléphone tes coussins profonds
Ce léger bruit qu’accompagne l’eau en fuite
sans titre 2
Trois destins et se croiser
Le bruit au bout des vies le bruit
Me poursuit en chaque pause d’écriture
Bruit incessant perceuse maracas
De tes épaules asymétriques nos jours
N’auront-ils que laideur pour vie ?
Le bruit au bout des vies le bruit
Me poursuit en chaque pause d’écriture
Bruit incessant perceuse maracas
De tes épaules asymétriques nos jours
N’auront-ils que laideur pour vie ?
samedi 7 avril 2007
sans titre 1
Sans savoir
Sans s’asseoir
Transfusé de souvenirs son sourire statique
Porte pour lui la gaieté des mourants
Un napperon un vase l’uniforme clair
Trop de couloirs tes bruits au bout des nuits
Sans saveur
Sans sauveur
Cette main calme et désemparée
Une guitare attend dans l’ombre de sa housse
Les doigts qui lui redonneront vie
Sans s’asseoir
Transfusé de souvenirs son sourire statique
Porte pour lui la gaieté des mourants
Un napperon un vase l’uniforme clair
Trop de couloirs tes bruits au bout des nuits
Sans saveur
Sans sauveur
Cette main calme et désemparée
Une guitare attend dans l’ombre de sa housse
Les doigts qui lui redonneront vie
retour
Tu rentres chez toi sans lumière sans phares sans elle
Au loin la nuit l’heure bleue pas encore
Le risque comme une avalanche il suffirait
D’un cri d’une palpitation soudaine
La ville dort c’est une chanson ton refrain
Qu’aucune oreille ne traduira
En rupture de correspondance ta peau
Ne connaît ni l’eau ni la peur
Propulsée dans le vivre sans vue
Eblouissant sans le savoir le corps d’un otage
Elle te déshabille et souvent s'étonne
Tes milliers d’écorces étanches
Au loin la nuit l’heure bleue pas encore
Le risque comme une avalanche il suffirait
D’un cri d’une palpitation soudaine
La ville dort c’est une chanson ton refrain
Qu’aucune oreille ne traduira
En rupture de correspondance ta peau
Ne connaît ni l’eau ni la peur
Propulsée dans le vivre sans vue
Eblouissant sans le savoir le corps d’un otage
Elle te déshabille et souvent s'étonne
Tes milliers d’écorces étanches
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