Le sens de la fugue c’est l’été truffé d’allusions mais stable
Dans son hésitation entre chanter et faire chanter
Ta déesse abusée mon intouchable feu
Des textes d’évaporation où vont prématurés
Un geste tes mots la somme des peurs
Et pour demain se mitonnerait la disparition pure
Ressentie dans nos mains tôt descendues aux poignets
Une vision : nos deux jambes lucide queue de poisson
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