A mes amis toulousains. A Coline.
Une belote s’engage un corps couché
Lumières éteintes à six heures cheminée
Entre les troncs les contrebasses
La pluie un entre-deux-soleils
La pluie entre soleil et nous
L’enfant dessine un cercle et puis des traits
A l’intérieur (dehors encore la pluie)
Des âmes posent leurs bras le temps de
Trois repas - l’enfant colorie l’éléphant
Qu’on a dessiné pour lui
Une bossa s’enroule les corps penchés
Sur le jeu une voix s’élève :
Je prends la main à cœur
Cahors, Pâques 2006
1 commentaire:
"Prendre la main à coeur"... Saisir quelque chose de présences... Poème. - Jean-Marie.
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