mardi 19 juin 2007

Complément d’amour et d’information

Dans le bol de ta journée l’attente

Contre toute idée d’un seuil d’un saule

Il arrive que ça passe au vert avant que


Le plus souvent sauver les montres les

Accessoires de - les accessoirement garder

L’empreinte d’un souffle ou d’un sabot

Garder l’heure suivre les roues l’odeur du thé


Un jour cet arbre t’a signifié le peu de sciences

L’essentiel au plus sombre l’art du promené

Son tronc tu t’en souviens la pauvreté de la

Lumière - le reste n’est plus qu’un songe


Ils ont ouvert leurs bouches puis dévissé leurs dents

Tu chantais la fin des refrains sus quelques bribes

D’un doigt l’endroit où tu dormiras de l’autre

La personne qui pourrira les abords de ton cœur


Hier ce fut la marée qui te privait des fruits du jour

Copier l’allongé dans les recoins du reflux avec

Plus ou moins de bonheur en chaque pause la vue

Chiffonnée le téléphone un ombilic (l’or des voix)


Le fleuve entourait la peur d’un printemps double

Tout poussait dans la nuit le jour mélangés tout

Sauf l’enfant la braise au milieu du feu du froid

Un cri démesuré s’est emmêlé dans les saules


Il arrive que ça passe que ça pousse que ça pisse

La voiture un navire éventré où s’époumone Ferré

Pluie pluie pluie l’imprononçable et ça cogne

En sous-main c’est qu’elle sème son carburant

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