Complément d’amour et d’information
Dans le bol de ta journée l’attente
Contre toute idée d’un seuil d’un saule
Il arrive que ça passe au vert avant que
Le plus souvent sauver les montres les
Accessoires de - les accessoirement garder
L’empreinte d’un souffle ou d’un sabot
Garder l’heure suivre les roues l’odeur du thé
Un jour cet arbre t’a signifié le peu de sciences
L’essentiel au plus sombre l’art du promené
Son tronc tu t’en souviens la pauvreté de la
Lumière - le reste n’est plus qu’un songe
Ils ont ouvert leurs bouches puis dévissé leurs dents
Tu chantais la fin des refrains sus quelques bribes
D’un doigt l’endroit où tu dormiras de l’autre
La personne qui pourrira les abords de ton cœur
Hier ce fut la marée qui te privait des fruits du jour
Copier l’allongé dans les recoins du reflux avec
Plus ou moins de bonheur en chaque pause la vue
Chiffonnée le téléphone un ombilic (l’or des voix)
Le fleuve entourait la peur d’un printemps double
Tout poussait dans la nuit le jour mélangés tout
Sauf l’enfant la braise au milieu du feu du froid
Un cri démesuré s’est emmêlé dans les saules
Il arrive que ça passe que ça pousse que ça pisse
La voiture un navire éventré où s’époumone Ferré
Pluie pluie pluie l’imprononçable et ça cogne
En sous-main c’est qu’elle sème son carburant
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