Au soir paré de cette violence à voix basse
Chaque caresse : une gifle ralentie à l’extrême
Tandis qu’il aimait son corps boxait dans l’ombre
On a levé la main le gant la foule s’est hissée
Sueur ou larme dans l’œil un carré de lumière
Sur le fil en face nul être au cri du gong
En un l’avancée du pied l’oiseau s’envole
Son bras s’échappe trace l’écho du corps en deux
Un tigre a rugit c’est trois soudain prêt pour l’assaut
Dans l’immobile la guerre continue rythme ténu
Du cœur des larmes d’un baiser mais sur la ligne
Les coups parés seront comptés sans altérer nos vies
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