Le vent s’invite un fado le bruit des tondeuses
Il y aura là juste entre les voix le mot futur du
bout des lèvres – juillet s’étire dans sa fraîcheur
Sur l’écran comme par la fenêtre : d’autres visages
d’autres ciels et la danse toute à son intuition
bientôt le dos reprendra la place première
Partout sera l’endroit où l’on peut être
sous les eucalyptus au plus vif d’un souvenir
à la cime du fleuve qui nous dérive sans hâte
2 commentaires:
ah quand même. je venais sur ton blog pour t'insulter (comment? pas de texte depuis l'été dernier? mais wow! c'est pas du boulot!) et je trouve deux nouveaux poèmes.
merci, mon cher. j'aime.
Bonjour !
JM
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