Sans savoir
Sans s’asseoir
Transfusé de souvenirs son sourire statique
Porte pour lui la gaieté des mourants
Un napperon un vase l’uniforme clair
Trop de couloirs tes bruits au bout des nuits
Sans saveur
Sans sauveur
Cette main calme et désemparée
Une guitare attend dans l’ombre de sa housse
Les doigts qui lui redonneront vie
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