samedi 17 janvier 2009

été

Aujourd'hui, j'ai décidé de travailler. Reprise d'un poème publié sur ce blog en novembre 2005.

Le sens de la fugue c’est l’été truffé d’allusions mais stable
Tout à son hésitation l’entre chanter et faire chanter
Ta déesse abusée mon intouchable feu que dire en
Vingt et un textes à vapeur où percent prématurés
Mon geste tes mots la somme de nos peurs
Une vision : nos deux jambes en lucide queue de poisson

1 commentaire:

Anonyme a dit…

L'été des coeurs...
JM.